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jeudi 11 août 2011

Rapport de stage (2)


Les infirmières en Amérique du Nord s’habillent comme elles veulent. Comprenez qu’elles ont une tenue de travail, mais que celle-ci n’est pas dédiée à un service, genre vert vomi pour l’urgence, bleu varice pour la chirurgie, rouge caillot pour les soins intensifs, jaune hépatite pour la pédiatrie, rose intoxication au monoxyde de carbone pour l’obstétrique et blanc arrêt  cardiaque pour les autres. Elles achètent leur uniforme chez S*ars ou chez Walm*rt, il y en a des mauves unis ou des verts bariolés, à motif de fleurs ou de Snoopy, aux genoux, à mi-jambes ou au chevilles et même des brodés façon dentelle anglaise. La classe.

Les docteurs sont en civil. Quand j’ai dit qu’en France j’avais une blouse, ça a bien fait rire mes collègues résidentes : il n’y a que les bébés étudiants en médecine de Montréal qui portent un sarrau... Forcément.

Les docteurs portent leur stéthoscope autour du cou. Quand j’ai dit qu’en France, il n’y avait que les externes qui se prenaient très au sérieux (ou qui avaient trop regardé Urgences, Scrub ou Grey’s Anatomy, dépendant de leur âge) qui le portaient de cette manière, ça les a fait hurler de rire : ben tu en faisais quoi alors ? Ben je le mettais dans la poche dans ma blouse ainsi que trente kilos de bordel qu’une quantité non négligeable de stylos, petits bouts de papier, marteau, lampe, bip et autres gadgets… Forcément.

Mais pour les gardes à l’urgence, les docteurs ont une tenue bleu cyanose marine.  Il en existe même en taille naine XS! J’en aurai pleuré de joie.

Voyez-vous, après avoir durant toutes mes études en France trébuché dans les ourlets de mes casaques en chirurgie, paru même pas enceinte au début de mon neuvième mois de grossesse dans mes blouses d’urgence, roulé sept fois les jambes de mes pantalons de soins intensifs, avoir eu l’air d’avoir piqué la parka de David Douillet dans mon blouson au Samu… une simple tenue à ma taille, ça m’émeut.

Après avoir enfilé une tenue et séché mes larmes, je quitte l’Unité de Médecine Familiale et me rends à l’urgence par les couloirs du sous-sol. Je négocie le passage devant la cafétéria en apnée. Les odeurs de cuisine communautaire de si bon matin, composées de délicates émanations de graillon dix ans d’âge, doux remugles de matières organiques en état de décomposition avancée, subtils effluves de détergent hyper-caustique, en plus de me coller une nausée tenace d’au moins 4h, m’invitent à une réflexion de haut niveau. Pourquoi la pitance d’hôpital est-elle aussi nauséabonde ? Et surtout, pourquoi à midi, ça sent raisonnablement bon ? Si quelqu’un a la réponse, ça m’intéresse vraiment, car franchement, ce n’est pas plus mauvais et même plutôt meilleur que les hôpitaux franciliens que j’ai fréquentés dans mon jeune temps.

Un peu tendue j’arrive à l’urgence. Ça ne ressemble pas du tout au Cook County. George Clooney brille par son absence et surtout les locaux d’Alma sont vétustissimes. Je ne suis même pas certaine qu’il n’y ait pas un peu d’amiante qui traîne encore quelque part. Depuis dix ans on leur promet des rénovations, depuis dix ans elles sont reportées à l’année suivante. Il y a quatre salles pour voir les patients, une salle dite de traitement, plus adaptée à la petite chirurgie et aux urgences ophtalmologiques : avec toutes les industries environnantes, il vaut mieux savoir se servir de la lampe à fente. Il y une salle de réanimation équipée pour deux patients instables et en arrière, douze civières qui accueillent les malades couchés qui vont être hospitalisés.

C’est parti… Douleurs rétrosternales, douleurs abdominales, dyspnées, détériorations de l’état général, accidents de la route, plaies, corps étrangers oculaires, idéation suicidaire, traumatismes de cheville, bronchiolites et feux sauvages (ça veut dire herpès en québécois, poétique, non ?) sont pain quotidien. Je vois les patients et je révise les dossiers avec le superviseur. Il y a un seul docteur par tranche de huit heures. Ce qui signifie que les quarts sont vite passés… mais qu’ils reviennent souvent.

Les patients arrivent par leurs propres moyens, ou via les ambulances, plus ou moins escortés par la police. Pas de Samu. J’adore. J’expliquerai un autre jour ma théorie à propos du Samu. Disons simplement que pour une obsessionnelle comme moi, et hors pathologies typiques à traiter urgemment c’est extrêmement anxiogène de passer après quelqu’un qui a déjà interrogé, examiné, diagnostiqué voire pronostiqué et vous a fait part de son idée et donc forcément influencé. Mais ça n’engage que moi mais tu sais bien ma copine que je t’aime quand même.

L’équipe infirmière est efficace, chacun connaît son rôle, ça roule plutôt bien. Pas besoin de supplier menacer négocier pour que le patient ait son prélèvement sanguin ou un électrocardiogramme rapidement genre si tu veux ton gaz du sang t’as qu’à le faire toi même et le porter toi même au labo à trois étages d’ici parce que moi je suis en pause et de toute façon je suis énervée parce que ma cadre ne m’a pas donné les congés que je voulais et je suis là seulement parce qu’une telle a son fils qu’est encore malade donc c’est comme si j’étais pas là. Je caricature mais pas tant que ça.

Autre source d’extase cosmique, la radiologie. Pas besoin de supplier menacer se prostituer négocier pour obtenir un scanner. Je remplis un bon et il sera fait dans le quart d’heure. C’est comme les tenues à ma taille, j’en pleurerais.

De la même façon, le spécialiste, le chirurgien le plus souvent, vient quand on l’appelle pour un avis. En grognant, en traînant les pieds, sans adresser la parole à qui que ce soit mais vient quand même. Ben oui, il ne faudrait pas croire qu’on est à l’hôpital des Bisounours !

En résumé, qu’elles soient françaises ou québécoises, je savoure les urgences : ça vous a un petit côté speed-dating de la médecine qui rompt agréablement avec la languissante monotonie des consultations sur rendez-vous. Que celui qui n’a jamais pensé voire gémi oh non pas lui en voyant un nom sur une liste de rendez-vous me jette la première pierre. Je vous rassure, j’aime bien revoir mes patients pour la plupart d’entre-eux.

En parlant de rencontre, j’en ai fait une belle ! Je remplissais un dossier lorsqu’un fringant quinquagénaire a surgi de la salle des patients couchés, main tendue.
_ Bonjour, je ne vous connais pas, vous êtes qui ?
_ Bonjour, Docteur médecin de famille français en stage.
_ Bonjour, Yves Bolduc, ministre de la Santé.
_... yeux ronds bouche ouverte
_ Française, hein ? ça me fait penser que j’ai vu votre ministre, là, comment il s’appelle déjà, euh, Xavier…
_ Heu… honte sur moi, j’ai eu un gros trou de mémoire, j’avais oublié que la Roselotte Tarquin OnvatousmourirdelagrippA avait été transférée à la Solidarité et la Cohésion sociale Bertrand ?
_ Ouais c’est ça, Bertrand, je l’ai rencontré récemment à Amsterdam, il a l’air un peu mou, non ?
_ …rrmmppffrrt… non je ne vais pas rire, non je ne rirai pas, trop tard j’ai ri
_ Pas vraiment prêt pour les réformes on dirait ? Et quand j’ai fait un peu le point sur la France, grand pays soi-dit en passant, mais ils ont au moins dix ans de retard sur nous en ce qui concerne l’organisation des soins, j’en suis encore tout étonné !
_... c’est exactement ce que je pense mais est-ce que si je le dis ça va faire lèche-botte ?
_ En tous les cas bienvenue au Québec.

Non, vraiment, j’adore les urgences !


13 commentaires:

  1. aaaaaaaaaaaaaaah enfin un nouveau post :c
    Top, comme dab

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  2. Merci pour l'éclat de rire et la description d'un certain stéréotype d'IDE de CHU/CHG français (on a travaillé au même endroit, c'est pas possible autrement…).

    Cela étant, ouvrons la parenthèse, pour avoir fort récemment testé le système de santé québécois, je ne suis pas vraiment séduit… Ça m'apprendra à partir en vacances sans ma pharmacie personnelle en m'imaginant que je pars dans un pays civilisé où je pourrai facilement accéder aux soins, et donc à un docteur, et ce d'autant que je ne demandais qu'à payer et ne prétendais pas à la gratuité. Eh bien en fait pas vraiment, et ce n'était pas dans le trou du cul du monde. J'ai eu un peu l'impression d'être dans «Les invasions barbares». Fermons la parenthèse.

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  3. @ Jeunejedi : merci! Mais tu vas me faire rougir ;-)

    @ Eric : de rien! j'aurais adoré mais au risque de me faire lyncher je crois qu'ils/elles sont partout pareils/pareilles.
    Pour la parenthèse, j'ai cru remarquer qu'une certaine catégorie de docteurs, catégorie dont je suis, échappée de sa biosphère habituelle et confrontée à ses pairs avait tendance à se montrer trop gentil/trop poli/trop patient/trop bon/trop con. Moralité, j'emmène TOUJOURS ma pharmacie personnelle en voyage, y compris et surtout en France/au Canada/aux États-Unis. Avec trois grumeaux c'est un peu obligatoire.
    PS : je n'ai pas vu "Les invasions barbares".
    PPS : je n'ai pas été au cinéma depuis mon premier accouchement, ça craint.

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  4. Chat botté
    Heu moi j'ai vu ''les invasions barbares'', et pas vu la différence entre cela et certains services français mouroirs vetustissimes ( pediatrie et neuro à Lyon par exemple...c'est plus que craignos) sinon ma maman vient de de casser le bassin aux USA et c'est tellement plus cher de la faire rapatrier que la maif la laisse convalescer et se rééduquer aux USA : comme quoi les clichés....elle est ravie des soins qui lui ont été prodigués.
    trop contente de te lire à nouveau!

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  5. Bon... comme je me suis un peu sentie visée par cette pique concernant le SAMU (de la pure paranoïa de ma part sans doute...), je me dois de préciser quelques petites choses.
    La médicalisation du préhospitalier est à mon sens nécessaire dans un certain nombre de cas (pathologies) bien précises. Mais pas si fréquentes.
    Ensuite, à ce jour et en France ça me semble aussi nécessaire pour des raisons organisationnelles...

    En gros, le jour où, dans un service reçevant 46 000 patients/an (un exemple comme ça, au pif)il y aura
    - plus de 5 box d'examen
    - des infirmières motivées et non des "toutes jeunes qui sont là juste parce qu'on les a mis là à la sortie de l'école mais qui sont déjà dans les starting blocks pour prendre leurs jambes à leur cou au bout de 8 jours"
    - des urgentistes formés à l'urgence...
    - des spécialistes qui viendront voir les patients de leur spécialité dans avoir besoin de se faire prier 5h et de surcroît des patients qu'ils suivent...

    et où on n'entendra plus:
    - "il était en FV je lui ai mis de l'atropine au cas où ce serait vagal"
    - "bon il est où TON patient"

    et où les patients ne passeront plus 3 et 30h sur un brancard

    Je rangerai mes rangers avec joie. De toute façon, elles ne s'accordent que très peu avec le reste de mes vêtements.

    Mais en attendant le patient qui met entre 4 et... pfiout une éternité d'heures à obtenir un lit en passant pas les urgences, avec le SMUR il y est en 30-60 min.
    Sauf si le travail est mal fait, mais ça c'est un autre sujet ;-)

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  6. @Chat Botté : trop contente de vous avoir rencontré "en vrai"! Mes voeux de bonne convalescence et futures gambades bondissantes à ta maman.
    PS : on a fini le Beaufort... Vous revenez quand ? ;-)

    @ mon Anonyme préférée : quelle fougue! Je crois que tu n'es pas près d'abandonner tes rangers franciliennes, dommage pour la clinique d'urgence d'Albanie du Sud ;-)

    Cela dit, si mes lointains souvenirs sont exacts, très peu de patients atterrissent dans un lit après une prise en charge pré-hospitalière en 30-60mn, ou alors il s'agit d'une pathologie excessivement typique, comme dit plus haut. La très grande majorité des patients sont "bennés" aux urgences. La faute à la régulation?

    Parfois, en tous cas trop souvent, ils ont été "bennés" par les pompiers avec la bénédiction du SAMU pour des bêtes diagnostics comme syndrome méditerranéen s'avérant embolie pulmonaire massive qui décède 30mn après l'arrivée ou encore crise d'angoisse s'avérant rupture d'anévrysme aortique qui décède 1h30 après l'arrivée, ivresse qui sera transportée 6h plus tard en neurochirurgie, psy connue du secteur ramassée après avoir été heurtée par un bus, mais c'est sûr elle fait semblant, qui sera aussi transportée 6h plus tard en neurochirurgie ou mieux encore c'est ma préférée parce qu'elle finit bien, gastro qui accouche 1h plus tard... Et là, bien sûr, on parle du travail mal fait ;-)

    Pour moi, et ça n'engage que moi, il en est du smuriste comme du généraliste qui me fait une transmission, il veut m'influencer et j'aime pas ça. Et puis souvent, le smuriste laisse des traces de boue... Peut-être que j'aurai moins de mal s'il mettait des jolies chaussures ;-))

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  7. Alors, l'Albanie du Sud (ainsi que l'Albanie tout court aussi d'ailleurs), pas tout de suite, d'autres horizons m'attirent et pourraient me faire raccrocher mes rangers...
    Sur "mon" secteur, la plupart des patients, s'ils sont médicalisés atterrissent quand même dans un lit. Le transport médicalisé aux urgences étant à mon sens (hormis pour une fracture isolée de membre) un échec de la médicalisation du préhospitalier...
    Après, ce n'est pas pareil partout...
    Et surtout une grande partie est effectivement bennée aux urgences après avoir été régulée par un médecin... mais du 18 et non du 15...

    L'été je mets des petites Re*book à semelles rouge vif (à défaut de pouvoir travailler avec d'autres semelles rouges...). Et je m'essuie toujours les pieds avant d'entrer quelque part ;-)

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  8. Après mûre réflexion, je choisis de passer au-dessus des histoires de chasse et d'accorder, tel Yahvé à Abraham, le sauvetage du SMUR si tu m'en trouves 10 de bons, de Smuristes!

    Il me semblait toutefois qu'au delà du périphérique les plateformes de centre de traitement d'alerte 15-18 étaient souvent communes et que c'était un médecin du 15 qui régulait?

    Tu conviendras aussi que beaucoup de tes collègues sortent 5 fois par jour maximum et prennent merveilleusement en charge 5 patients par jour maximum (de leur canapé au lit d'hôpital je n'en doute pas) avec l'aide de tout un tas de personnel tant hypercompétent que parfaitement surnuméraire pendant que d'autres beaucoup moins gâtés prennent en charge 40000 patients par an dans un bête service d'urgences. Disons que jouer à la PSP, se masturber collectivement devant les photos de la dernière Porsche Cayenne de Untel ou les photos de la dernière intervention gore, ou encore tenter de copuler ou de forniquer avec son prochain pendant les heures de travail en se prenant pour un super-héros et en crachant sur les interventions "de merde" et les confrères pendant que les urgentistes, les généralistes et le personnel soignant tirent la langue m'a toujours paru parfaitement obscène. Ça doit être mon éducation catholique stricte.

    Maintenant, je le redis, trouve-m'en 10 qui ne sont pas comme ça...
    _ Toi ;-)
    _???

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  9. Au-délà du péripherique, c'est déjà plus la France, non?
    Bon... 10... allez j'y réflechis... pour l'instant j'en suis à 4 ;-)))

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  10. Bonjour, serait-il possible de vous contacter par courriel?

    Élise Karagueuzian

    elise.karagueuzian@gmail.com

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  11. Je suis un Coréen de 55 ans. On m'a diagnostiqué un cancer du foie de deuxième stade à la suite d'un examen prévu pour surveiller la cirrhose du foie. J'avais beaucoup maigri. Un scanner a révélé trois tumeurs; un au centre de mon foie dans un tissu endommagé et deux dans des parties saines de mon foie. Aucun traitement de chimiothérapie ou de radiothérapie n'a été prescrit en raison de mon âge, du nombre de tumeurs au foie. Un mois après mon diagnostic, j'ai commencé à prendre 12 suppléments de Salvestrol (350 points) par jour, proportionnés à mon poids. Cela comprenait six capsules Salvestrol Shield (350 points) et six capsules Salvestrol Gold (350 points), réparties tout au long de la journée en prenant deux de chaque capsule après chaque repas principal. Ce niveau de supplémentation en Salvestrol (4 000 points par jour) a été maintenu pendant quatre mois. En outre, j'ai commencé un programme d'exercices de respiration, d'exercices de chi, de méditation, d'étirement et d'évitement du stress. En raison de la variété de problèmes dont je souffrais, je subissais des examens médicaux en cours. Onze mois après le début de la supplémentation en Salvestrol, mais toutes les mesures étaient invalides, je cherchais toujours un remède à base de plantes qui témoignait de mon appréciation du Dr Itua sur la façon dont il avait guéri de son traitement contre le VIH / Herpès. Je l'ai contacté par courrier électronique, le Dr Itua m'a envoyé son médicament à base de plantes pour le cancer à boire pendant deux semaines pour guérir, je l'ai payé pour l'accouchement, puis j'ai reçu mon médicament à base de plantes et je l'ai bu pendant deux semaines et j'ai guéri jusqu'à ce que je sois complètement débarrassé du cancer, je vous conseillerai de contacter Dr Itua Herbal Center Sur Email ... drituaherbalcenter@gmail.com. Numéro WhatsApps ... + 2348149277967. Si vous souffrez des maladies énumérées ci-dessous, Cancer, VIH / sida, Virus de l’herpès, Cancer de la vessie, Cancer du cerveau, Cancer du colon, Cancer du sein, Cancer de la prostate,
    "Cancer de l'œsophage," Cancer de la vésicule biliaire, Maladie trophoblastique gestationnelle, Cancer de la tête et du cou, "Lymphome de Hodgkin
    Cancer intestinal, cancer du rein, leucémie, cancer du foie, cancer du poumon, mélanome, mésothéliome, myélome multiple, tumeurs neuroendocrines, lymphome non hodgkinien, cancer de la bouche, cancer de l'ovaire, cancer du sinus, cancer de la peau, sarcome des tissus mous, Cancer de la colonne vertébrale, cancer de l'estomac, cancer du testicule, cancer de la gorge, cancer de la thyroïde,? Cancer, cancer de l'utérus, cancer du vagin,? Cancer de la vulve, hépatite, maladie chronique. Lupus, fibromyalgie.

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  13. Je m'appelle Layla, j'ai été testé positif à l'hépatite B en décembre de l'année dernière lorsque j'avais de fortes douleurs aux côtes et un estomac enflé, on m'a dit qu'il n'y avait pas de remède à l'hôpital, mais le médecin m'a donné des médicaments pour ralentir la charge virale et cela empiré après un certain temps. Par frustration, je suis allé en ligne pour plus d’informations sur la maladie et la guérison, et heureusement, j’ai trouvé un commentaire sur le traitement à base de plantes d’Iyabiye et sur la façon dont il a guéri les gens avec. Je l'ai contacté et j'ai testé négatif au virus après avoir terminé le traitement. Vous aussi pouvez être libre. Contact: + 234-815-857-7300 (iyabiyehealinghome@gmail.com)

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Et c'est tout! Enfin normalement...
Bisous!